La nature renaissante
Les rayons du soleil viennent désormais caresser de bonne heure une nature encore un peu endormie après la longue nuit hivernale. Des oiseaux virevoltants chantent joyeusement tandis qu’ils font leur nid. Les arbres majestueux fleurissent de mille couleurs et tendent leurs jeunes feuilles vers l’astre de lumière. Les forêts agitées reverdissent, et les mammifères encore engourdis par leur paresseuse hibernation pointent le bout du museau. La saison des amours commence. La nature exalte et déborde de vitalité. Le printemps libère enfin ses énergies.
Les hommes aussi se réjouissent du retour des jours lumineux. Par les anciennes fêtes païennes qui célébraient l’équinoxe printanier avec Ostara, ou par la Pâques chrétienne qui fête le Christ glorieux et ressuscité. L’homme ressent l’irrépressible besoin de participer à cette ferveur et cette joie qui parcourent la nature toute entière qui l’entoure. Il se relie alors non seulement à ses semblables mais à l’ensemble du monde vivant dans un moment de profonde communion et un sentiment d’espérance.
Le printemps est la réalisation d’une promesse toujours tenue. Il est la preuve que la lumière finit toujours par vaincre l’obscurité. Dans la nuit la plus noire, il porte l’espérance du renouveau.
L’humanité face à la nuit
Dans cette époque sombre pour l’homme blanc, tout est fait pour démoraliser et paralyser l’essor de forces positives. Tout semble vouloir empêcher la réémergence d’une ère glorieuse, qui pourtant nous attend. Car comme le printemps, elle est inéluctable.
La propagande médiatique, l’oppression financière et judiciaire, les agressions et les incivilités quotidiennes des allogènes, la décrépitude de l’art : tout concourt à décourager l’européen qui aspire au changement. Qu’il est difficile pour l’homme clairvoyant sur notre époque décadente d’affronter l’indifférence, l’aveuglement et l’égoïsme de ses amis et de ses congénères.
Le printemps nous annonce pourtant que la victoire de nos idéaux adviendra. Car ils sont fondés sur les lois de la Nature, et que tout système antinaturel est par définition instable et donc transitoire. Le président des Etats-Unis Joe Biden vient de déclarer le 31 mars 2024, dimanche de Pâques chrétienne, « Jour de visibilité des transsexuels ». Il signe ici de manière claire l’idéologie antinaturelle profonde des élites de l’Ouest. C’est une attaque contre la date la plus importante du calendrier chrétien qui célèbre la victoire de la Vie sur la mort. Il en inverse la signification. Car qu’est-ce que le mouvement transgenre, si ce n’est l’inversion de la Nature, la promotion de la stérilité et donc la célébration de la victoire de la mort sur la Vie ?
L’opinion publique connaît cependant assez bien l’état avancé de délabrement cognitif de Joe Biden. Il faut donc plutôt regarder du côté du nouveau Chief of Staff de la Maison-Blanche Jeffrey Zients pour connaitre la véritable origine de cette attaque.
C’est “Rachel” Crandall-Crocker qui a créé cette « Journée de visibilité des transsexuels » du 31 mars, en 2009. Cet homme se définit lui-même comme un « Transsexuel juif et lesbien atteint du syndrome de Gilles de la Tourette ».
Voilà le genre d’individu à l’origine des valeurs des dirigeants des « démocraties » occidentales. Si vous ne vous sentez pas 100% à l’aise avec ce genre de pensées, sachez que vous êtes considéré comme extrémiste et donc ennemi par ce système. Ce n’est pas vous qui décidez. De nombreux « progressistes » des décennies passées se retrouvent aujourd’hui catalogués ainsi sans avoir jamais changé d’idée sur aucun sujet. L’idéologie antinaturelle au pouvoir n’est pas figée mais constitue une véritable dynamique contre la Vie elle même. Elle se dévoile toujours un peu plus, au fur et à mesure que le système juge qu’il a suffisamment endoctriné le cerveau moyen pour aller plus loin encore.
L’espoir du renouveau
Ce week-end de Pâques, soyez-donc du côté de la célébration de la Vie. Promenez-vous en famille dans cette nature renaissante, connectez-vous à cette énergie positive qui partout rejaillit. C’est pour nous tous l’occasion de retrouver l’ardeur et la volonté dans les épreuves que nous affrontons. Dans nos vies personnelles et dans la cause commune qui nous anime. Soyez certains que l’ère ténébreuse que nous traversons touche à sa fin. Les jours meilleurs sont à venir. Si nous souffrons d’être nés et de vivre dans un monde qui nous révulse, nous connaîtrons, pour beaucoup, le bonheur immense de passer à nos enfants un univers nouveau et plein de promesses. Certes, les hommes sensibles et droits, endurent une grande peine dans cette époque hideuse. Mais n’oubliez pas qu’ils ressentiront la plus intense des joies lorsque viendra à nouveau le printemps sur notre civilisation.