Stratégie politique pour le monde de demain

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Cet article constitue l’entrée en matière d’une conférence que j’ai donnée il y a peu. L’intitulé complet est stratégie pour le monde de demain, ce que propose le national-écologisme. Je pense que c’est une bonne idée de l’introduire avec un article plus structuré sur le sujet de la stratégie politique à adopter. Cette conférence, et par extension cet article sont assez importants et innovants. La raison est simple : la prise du pouvoir réel est envisagée comme une nécessité et nous discutons d’un plan d’action clair pour y parvenir.

Le sujet de la stratégie à adopter pour les nationalistes en 2024 est un âpre débat. Entre les doomers qui pensent que rien ne peut être fait et les têtes brûlées qui finiront en prison dans 2 ans se trouve un juste milieu. J’entends souvent dire que rien ne peut légalement être fait. C’est à la fois vrai et faux.

C’est vrai parce que même en prenant toutes les dispositions nos élites écrivent la loi. Elles peuvent au choix la modifier ou la mettre à la poubelle lorsqu’il s’agit de persécuter de véritables opposants politiques. C’est de ce constat simple qu’émerge la nécessité de changer nos élites.

C’est aussi faux parce qu’une méthode sérieuse et une stratégie politique réfléchie permettent d’éviter le gros de la répression. Une bonne préparation permet aussi de correctement rebondir lorsque l’on est inévitablement victime d’un abus de pouvoir. Enfin, la dynamique globale est très bonne à moyen terme.

Certaines parties de l’article sont valables comme principes généraux. D’autres sont valides uniquement dans le cadre de pays occidentaux. Enfin, certaines parties sont valables uniquement pour la France.

Voici un sommaire pour naviguer dans cet article un peu plus long que d’habitude :

  1. La structure du pouvoir
  2. Nous ne vivons pas en démocratie
  3. Scénarios
  4. Objectifs d’une stratégie politique sérieuse
  5. La recette du succès
  6. Conclusion

La structure du pouvoir

Etablir une stratégie politique solide est impossible sans une vision claire de la structure du pouvoir en place. Nous n’allons pas l’aborder dans ses moindres détails pour des raisons tant légales que pratiques.

La première étape consiste à dissocier l’apparence du pouvoir de sa réalité concrète. La République constitue le pouvoir apparent. L’oligarchie bancaire/financière constitue le pouvoir réel. Ce pouvoir s’exerce par le contrôle des flux de capitaux. C’est le principe du capitalisme (financier). Là aussi, il y a des subtilités : il y a une différence majeure entre contrôler du capital et contrôler les flux de capitaux.

Bill Gates et Jeff Bezos sont peut-être très riches sur le papier, mais ils ont infiniment moins de pouvoir que les banques centrales qui peuvent de toute façon imprimer de l’argent à volonté. Ces banques centrales sont influencées, voire indirectement détenues par des dynasties bancaires/financières/industrielles. Nous dirons des « dynasties capitalistes » pour faire court. Vous avez sûrement déjà entendu parler d’elles : Rothschild, Rockefeller, Warburg… C’est notamment le cas pour la « réserve » « fédérale » « américaine » qui n’est ni une réserve, ni fédérale ni même américaine dans ses intérêts et décisions ou dans sa structure. Le terme de « planche à billets au service de l’hyperclasse » serait plus approprié.

Laissez-moi émettre et contrôler l’argent d’une nation et je ne me soucie pas de savoir qui écrit les lois.

Mayer Amschel Rothschild

Juste en dessous de ces grandes dynasties se trouve la banque des règlements internationaux qui coordonne les différentes banques centrales. Ces dernières agissent de concert avec les think tanks et groupes d’intérêts internationaux : forum économique mondial, CFR, Bilderberg, Club de Rome, etc.

Les décisions prises sont ensuite distribuées aux organisations supranationales : ONU, OMS, FMI, GIEC, ONG « philanthropiques », etc. Les gouvernements nationaux les appliquent ensuite et ce sont, de plus en plus, des « autorités » « scientifiques » « indépendantes » qui les justifient. Ces dernières constituent en fait un clergé dont l’autorité n’est pas légitime, dont la méthode n’est pas scientifique et dont l’indépendance signifie « hors de tout contrôle populaire ». On parle ici du CDC et de la FDA aux États-Unis, mais aussi de la HAS en France ou du conseil scientifique pendant la période Covid depuis remplacé par le COVARS. Le système universitaire dans son ensemble, notamment en ce qui concerne les sciences sociales, est aussi régulièrement mis à contribution.

En dernier recours, c’est vous et moi qui subissons ces politiques décidées au plus haut niveau. Comme je dis souvent, une image ou un diagramme vaut mille mots (cliquez pour ouvrir l’image dans un nouvel onglet) :

Structure de l'oligarchie financière : quelle stratégie politique adopter ?

Quel est l’étendue du pouvoir de l’oligarchie ?

La structure du pouvoir dans les « démocraties » modernes est complexe. Cela peut amener à penser que les gens qui nous dirigent ont dix coups d’avance et sont imbattables. Il y a un juste milieu entre ceux qui croient naïvement que personne ne se trouve au-dessus du président de la République, et entre ceux qui pensent qu’une poignée de banquiers ont un contrôle absolu et invisible sur chaque individu.

En réalité, même le pouvoir de ces derniers n’est pas si étendu. En effet, ils font partie d’un système de plus en plus complexe et autonome, c’est-à-dire en « roue libre ». Il doit aller à sa conclusion logique avec ou sans eux. C’est aussi la raison pour laquelle il ne faut pas juste changer nos élites, mais bien toute la logique du système.

Faut-il agir ?

J’ai déjà entendu, plutôt souvent en fait, que rien ne pouvait être fait justement parce que le pouvoir ne se situe pas au niveau de la nation. C’est faux. En temps normal, si une province de l’Empire financier occidental cherchait à tracer sa propre voie, le rappel à l’ordre ne se ferait effectivement pas attendre.

Cependant, c’est aujourd’hui le système entier qui vacille. Il est tout à fait possible que nous assistions bientôt à sa décomposition complète en grande pompe, à l’instar de l’URSS en 91. Agir n’est donc pas inutile. Le moment historique que nous vivons est propice aux changements.

Nous ne vivons pas en démocratie

Je pense que vous l’avez déjà compris. Nous ne vivons pas en démocratie, loin s’en faut. Mais alors, pourquoi y a-t-il des élections ?

Les élections sont en fait un rituel de légitimation des élites. Comprenons bien qu’un pouvoir politique est toujours légitimé par une source de pouvoir et un rituel de succession :

  • Sous l’ancien régime, c’est la volonté divine et la succession héréditaire de droit divin avec couronnement au nom de Jésus-Christ.
  • Sous la République, c’est la « volonté du peuple » et les élections.

Mais la République est en fait un régime de transition depuis l’ancien régime, qui avait pour lui certaines valeurs chevaleresques et aristocratiques, vers un autre où seul domine l’appât du gain. Ce régime terminal vers lequel nous allons, c’est la technocratie autoritaire légitimée par la « Science » des experts et le « consensus scientifique ».

Contrairement aux anciens régimes basés sur la répression, les régimes modernes se basent plutôt sur un modèle de société permissif. Nous pouvons tout faire, du moment que cela n’a aucune importance. Pour guider les populations, plutôt que la force, on utilise la propagande et un système complexe de fausse pluralité. Par exemple, qui parmi les partis politiques mainstream parle d’interdire l’usure ou de mettre au pas les banques centrales ?

Tout est permis, rien n’est possible

Michel Clouscard

En dernier recours, si vous gênez trop, le bâton, plutôt que la carotte, reste une option pour le pouvoir. Après tout, une société « ouverte » se doit d’être « intolérante avec les intolérants ».

C’est une chose de regarder la réalité en face et de réaliser que nous ne sommes pas en « démocratie ». Il faut ensuite l’acter. Le combat politique n’est pas « juste » ou « égal ». Ne soyez pas étonné quand le système ignore ses propres règles et principes pour vous réprimer. Gardez surtout à l’esprit que plus un système est faible et doute de lui-même, plus il est cruel et impitoyable contre ses opposants. Prendre des coups ne doit pas vous démoraliser. Bien au contraire.

Scénarios

Avant toute chose, précisons quelques évidences. Lorsque je parle de révolution ou de partition, je n’encourage à aucune action violente sous quelque forme que ce soit. Par exemple, une révolution désigne uniquement un processus historique et politique par lequel le modèle de société précédent change complètement.

Selon moi, quatre scénarios sont envisageables pour le futur. Je me répète, mais une image vaut mille mots :

Scénarios futurs : quelle stratégie politique ?

Technocratie autoritaire alias féodalisme néolibéral

Il s’agit du scénario “statu quo”. Le système poursuit son évolution et sa transition. Ce scénario est certainement le pire. On parle ici d’une véritable dystopie avec surveillance de masse, rationnement des populations, contrôle des mouvements, guerres internes et externes, poursuite de la stratégie du diviser pour régner. Le système cible et attaque les dernières communautés organiques restantes. Toute identité naturelle (sexe, nationalité…) devient obsolète et est remplacée par des identités de substitution : genre, sexualité, etc.

Démographiquement, le remplacement continue voire s’accélère.

Un petit mot du méchant du dernier James Bond qui cristallise le projet technocratique :

République « islamique » de France

Le nom est volontairement un peu moqueur. C’est le scénario “statu quo bis” et en fait pas tellement islamique. Du moins dans un premier temps.

Ce scénario est similaire au précédent, mais le système est trop affaibli pour briser une situation de tensions ethniques aggravées. Cela s’ajoute à une montée en puissance de la gauche communautaire et donc du bloc allogène qu’elle représente. La réponse du bloc démographique blanc est trop faible. La justice à deux vitesses devient une politique d’État plus ou moins officielle et la paix est maintenue par une redistribution massive des impôts vers les cités.

Dans ce scénario, le contrôle technocratique s’applique uniquement aux populations blanches et à un niveau moindre. Ce relatif gain de liberté est ce qui rend ce scénario, paradoxalement, plus désirable que le précédent étant donné que le remplacement suit son cours dans tous les cas.

Partition/balkanisation

Ici, le cheminement précédent continue : le système est affaibli et la gauche communautaire, donc le bloc démographique allogène qu’elle représente, monte en puissance. Le bloc démographique blanc monte ou continue à monter lui aussi. Le système est incapable de gérer la situation et s’effondre petit à petit, mais aucun bloc démographique n’a l’ascendant sur l’autre.

La France est ainsi de facto partitionnée entre allogènes et Blancs. C’est un scénario envisagé au plus haut niveau de nos responsables politiques. François Hollande a lui-même avoué que c’est le scénario qui est en train de se jouer actuellement. On se souvient aussi de la formule de Gérard Collomb : « Je crains que demain l’on vive face à face. »

Est-ce un scénario positif ? C’est certainement l’un des moins pires. Nous aurions une marge de manœuvre conséquente pour construire le monde de demain dans les territoires préservés.

Révolution

Je considère ce scénario comme le meilleur pour nous, mais je ne pense pas qu’il soit sérieusement possible. La raison est simple : le bloc communautaire allogène, porté par une certaine frange de la gauche, monte déjà.

Hypothétiquement, ce serait un scénario idéal où une élite véritable prend le pouvoir et est capable de faire respecter sa volonté sur l’ensemble du territoire.

Même dans le cas où cela serait possible, ce scénario n’est pas forcément le meilleur non plus si l’on reste réaliste. Dans un premier temps, il vaut mieux avoir un contrôle total sur quelques territoires et y construire un modèle alternatif plutôt que d’avoir un contrôle limité sur une large zone.

Quel scénario est le plus plausible ?

Je considère que les deux scénarios plausibles sont les scénarios “république islamique” et “partition”.

En effet, l’alliance gauche communautaire / bloc démographique allogène est déjà là et ne montre pas de signes de vouloir s’arrêter en si bon chemin. Le système, quant à lui, me paraît mourant et montre tous les signes d’un Empire en fin de vie. Il suffit de l’observer pour voir les mêmes problèmes qui ont mené par le passé à la chute d’Athènes ou de l’Empire romain, par exemple.

C’est donc la force du bloc blanc qui déterminera s’il y a rupture ou non du statu quo.

Cela me semble tout de même en bonne route. Bien que je considère le RN comme une opposition plus ou moins contrôlée, sa montée dans les intentions de vote reste un signe majeur et positif.

Conclusion : quelle stratégie politique ?

Tout d’abord, il est évident que certains scénarios sont préférables à d’autres. Je pense que la hiérarchie est globalement la suivante :

Révolution = Partition >>>>> République “islamique” de France > Technocratie

Encore une fois, je me répète : la révolution est la situation idéale sur le papier, mais au vu des circonstances actuelles, ce n’est pas tellement mieux qu’une partition. Il faut en revanche qu’ait lieu une révolution culturelle où les mœurs progressistes, matérialistes, individualistes, consuméristes… sont jetées à la poubelle de l’Histoire.

Comme je l’ai dit plus haut, c’est la force du bloc blanc qui déterminera s’il y a (ou non) rupture du statu quo. Cette rupture nous permettrait d’atteindre l’un des deux scénarios positifs.

Il nous faut donc en premier lieu renforcer le bloc Blanc.

En deuxième instance, affaiblir le système est aussi utile. Cela n’implique pas de violence, mais plutôt un contre discours et une vision alternative. L’objectif est de saper la confiance du public, déjà bien entamée tant ceux qui nous dirigent sont corrompus et motivés par l’appât du gain au-dessus de tout.

Par ailleurs, empêcher la montée de la gauche communautaire ou du bloc démographique allogène est une considération tertiaire, voire pas une considération du tout. Tout d’abord car cela requiert un effort important, mais aussi car ce bloc participe à l’affaiblissement du système. Cela ne veut pas dire qu’il faut faire ami-ami avec les allogènes, mais bien qu’ils ne sont pas la priorité immédiate.

Aussi, gardons bien en tête de rester flexibles. L’histoire est par définition imprévisible. En conséquence, une action politique efficace ne met pas “tous ses œufs dans le même panier” et se déroule sur plusieurs axes.

Objectifs d’une stratégie politique sérieuse

À la lumière des parties précédentes, nous pouvons définir plusieurs objectifs à court/moyen terme. Il est impossible de prévoir exactement une échéance. Ces objectifs doivent être larges et flexibles afin que nous puissions rebondir, peu importe la situation politique, économique, démographique ou sociale.

Ces objectifs sont :

  • Proposer un contre discours. Ce dernier va de la dénonciation simple des mensonges de l’oligarchie, à la création de médias dissidents comme TvLibertés. Le plus important est surtout de proposer une vision alternative, cohérente et positive. C’est ce que fait Vectos avec le national-écologisme.
  • Fédérer les forces d’opposition.
  • Etablir des enclaves. Il s’agit de zones où construire concrètement des réseaux de personne à personne, des projets enracinés, etc.
  • Créer des institutions parallèles. Les médias dissidents en font partie. Il s’agit aussi de tout un pan communautaire. Par exemple, les conflits interpersonnels doivent être gérés par la communauté (justice). Dans ce cadre, il faut rassembler le plus de Blancs possibles dans des communautés enracinées.

Aucune action ne doit être comprise de manière isolée. Créer des communautés et des institutions permet de faire émerger un contre discours, qui permet de fédérer plus de gens, etc. Tout est interconnecté.

Le but final est l’acquisition du pouvoir, qu’il soit local ou central, national ou régional : peu importe. A partir du moment où nous pouvons mettre en application une vision positive et favorable aux Blancs, le succès n’est qu’une question de temps.

La recette du succès

Peu importe le scénario le plus plausible à un instant T, les objectifs cités dans la partie précédente restent la meilleure manière d’agir et de se renforcer tout en conservant une certaine flexibilité. Une fois ces objectifs atteints, quels seront les ingrédients nécessaires pour assurer ensuite notre succès politique ? Pour reprendre en main notre destinée, indépendamment des circonstances politiques exactes ?

Ces ingrédients sont les suivants, et la recette est très facile à retenir :

  • Une idée
  • Une élite
  • Une opportunité
Des pavés de bœuf en train d'être cuisinés à la poêle
Le succès, grillé à la poêle. Recette non végétarienne.

Normalement, si un travail sérieux a été effectué autour des objectifs cités plus haut, l’idée et l’élite émergent plus ou moins naturellement. L’opportunité est elle-même constituée d’un climat propice et d’un événement déclencheur. Or, le climat est de plus en plus propice à ce que Faye appelait la “convergence des catastrophes”, un électrochoc qui redistribuerait toutes les cartes du pouvoir…

Quand bien même un effondrement de ce genre n’aurait pas lieu, une élite et une idée sont nécessaires à la création d’enclaves préservées à partir desquelles rebondir et repartir sur des bases saines.

Caractéristiques d’une élite

Une élite dissidente capable de réussir à atteindre le pouvoir doit avoir certaines caractéristiques.

Tout d’abord, elle doit être structurée et organisée. Des responsables clairs et de qualité, idéalement visionnaires, doivent gérer chaque structure. Pas des « bureaux » ou des « comités ». Il faut arrêter les délires démocratiques paralysants. Toutefois, au vu de la féroce répression en France, les structures pyramidales semblent proscrites. Ainsi, dans un premier temps, l’organisation optimale est celle de multiples groupes locaux et régionaux autonomes unis par une idéologie commune. De cette façon, il sera impossible de dissoudre chaque structure, et on ne dissout pas une idée…

Deuxièmement, elle doit être radicale et déterminée. Le projet porté doit constituer une rupture totale avec le statu quo. Il doit être un électrochoc à lui tout seul. Toutefois, la radicalité doit se trouver uniquement dans les idées. Je me répète, mais nous n’appelons aucunement à la violence.

Enfin, l’élite doit être intelligente et flexible. Cela coule de source et ne nécessite pas d’explication supplémentaire.

Caractéristiques d’une idée

Une idée qui légitime une redistribution du pouvoir doit avoir des caractéristiques précises. Les caractéristiques listées ci-dessous sont comparées à ce que propose le national-écologisme. Cela permettra d’illustrer en quoi il est une réponse adaptée en vue d’une stratégie politique sérieuse.

Ainsi, une idée qui nous intéresse doit :

  • Légitimer le renversement du système/pouvoir en place. Le national-écologisme le justifie en opposant la société organique/biocivilisation à la société artificielle/techno-industrielle.
  • Proposer un paradigme cohérent et positif. Être contre la “décadence” n’est pas suffisant. Il faut être pour quelque chose. Le national-écologisme offre une vision alternative de la société centrée autour de la Nature.
  • Être audible des masses. Le national-écologisme se place sur et recadre le thème de l’écologie, grand thème du 21ème siècle.

En plus de répondre aux trois points abordés précédemment, une idée doit être crédible. Afin d’être crédible, elle doit pouvoir répondre de manière satisfaisante à une grande partie des problématiques de la situation qu’elle souhaite corriger.

Pour des soucis de concision, nous n’allons pas aborder ici ces problématiques. Si cela vous intéresse, je vous invite à lire le manifeste du national-écologisme.

Conclusion

Quelle conclusion tirer de tout ce que je viens d’aborder ? Tout résumer est difficile. S’il y a bien une chose qu’il faut que vous reteniez, c’est que rien n’est perdu. Au contraire, nous vivons dans une époque charnière où tout est possible. Notre action ou notre inaction sera ce qui déterminera notre futur : dystopie multiraciale ou biocivilisation ethniquement homogène ?

Une statue grec visant un arc vers un horizon par delà l'océan avec un arc-en-ciel

L’action peut prendre différentes formes. Il faut de tout pour faire un monde. Toutefois, la flexibilité reste une qualité première dans un monde incertain. Le national-écologisme préconise une action sur trois points :

  • Le politique, par la création d’une vision alternative, sa promotion et la fédération de forces d’opposition. Cela correspond aux deux premiers objectifs que nous avons abordés.
  • Le communautaire, par l’enracinement et la création de structures parallèles. Cela correspond aux deux derniers objectifs abordés.
  • L’individuel, par la mise en place de processus visant à créer des hommes et femmes de qualité à même de reprendre le flambeau de la grande Europe.

Le but final d’une telle action est de permettre aux Blancs de tirer parti des nouvelles réalités géopolitiques et ethniques de notre siècle. Il est vital que nous disposions d’un État explicitement réservé aux nôtres et dédié à la préservation de notre identité, de nos traditions et de notre socle biologique.

Alors, plus de temps à perdre, rejoignez des structures nationalistes !