Il nous faut un État blanc pour l’Europe

Le national-écologisme, en tant que tel, a une composante universelle. En revanche, il n’est pas universaliste. Fondamentalement, le national-écologisme vise à une écologie double, intérieure comme extérieure. Il nous faut conserver certains aspects fondamentaux de notre environnement, ne pas trop le dénaturer. De la même manière, nous devons préserver notre essence profonde et ce que nous sommes historiquement, biologiquement et culturellement. Si, demain, l’Algérie, le Vietnam ou le Congo veulent construire une société selon ce principe d’écologie double, grand bien leur en fasse. Le national-écologisme est ethno-différentialiste et peut s’appliquer selon les spécificités des uns et des autres.

Néanmoins, soyons francs et clairs. Au-delà du principe de base d’écologie double ou « intégrale », le national-écologisme a été développé par et pour des Blancs. Plus précisément, il a été développé pour des Européens. Je précise l’évidence, mais mieux vaut en dire trop que pas assez : les Européens sont blancs.

Au premier abord, il peut sembler contradictoire qu’une idéologie nommée national-écologisme soit pro-Europe. Encore faut-il comprendre ce qu’est une nation, et comprendre ce qu’est l’Europe.

Qu’est-ce qu’une nation ?

Wikipédia n’est pas un site ami mais je vais quand même rependre le début de sa définition :

Le sens moderne de nation est assez proche de celui de peuple, mais ajoute souvent l’idée d’État (souhaité, autonome ou indépendant)1. En effet, un peuple peut se concevoir, ou non, en tant que nation, et, à ce titre, se doter, ou non, de la structure d’un État. On peut ainsi définir, dans une acception minimale, la nation « comme une communauté humaine qui se reconnaît des traits communs, culturels ou ethniques, au nom desquels elle veut constituer une entité politique souveraine. »2

[…]

Le mot « nation » vient du latin natio, qui dérive du verbe nascere « naître » (supin : natum). Le terme latin natio désigne les petits d’une même portée, et signifie aussi « groupe humain de la même origine »4. Chez Cicéron, le terme natio est utilisé aussi pour désigner une « peuplade », un « peuple » ou une « partie d’un peuple »5.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Nation

Une nation est donc un peuple partageant une histoire, des traditions, des coutumes, des modes de vie ou encore des aspirations qui le distinguent des autres peuples et nations. Pour cette raison, une nation est un peuple qui, par la force de sa volonté, constitue ou veut constituer une entité politique souveraine.

Lorsque la Grèce était divisée en cités-État, la nation d’un spartiate était Sparte. Celle d’un Athénien était Athènes. Pourtant, aujourd’hui, personne ne songerait à dire qu’Athènes est autre chose qu’une partie intégrante de la nation grecque.

Carte de la guerre du Péloponnèse : des nations divisés mais partageant pourtant un héritage et un destin communs
Athènes contre Sparte : des guerres fratricides mais nécessaires à un processus historique

Une nation peut se constituer d’une multitude de manières : par une volonté collective, face à un ennemi commun, sous la contrainte… La Grèce s’est constituée en opposition à la Perse, donc face à un ennemi commun, puis a été formellement unie sous la contrainte par la Macédoine avec les conquêtes de Philippe II puis d’Alexandre.

Une bataille entre hoplites : Athènes contre Sparte et la destin de la Grèce

L’Europe, une nation

L’Europe a historiquement été fragmentée suite à la mort de Charlemagne. Ce n’est pas parce que cela a été le cas pendant 1200 ans que cela sera, ou devrait être, toujours le cas. À l’instar d’Athènes et de la Grèce, dans 100, 200 ou 300 ans l’appartenance de la France à une grande Europe sera une évidence. De la même manière qu’Athènes n’a pas cessé d’exister lorsqu’elle a rejoint la Grèce, la France ne cessera pas d’exister parce qu’elle fait désormais partie d’un ensemble plus grand. Ce n’est pas l’État souverain français qui est éternel. C’est le peuple et son substrat biologique, sauf s’il continue à se vautrer dans le consumérisme alors qu’il est en train de se faire remplacer. Toujours est-il qu’une Europe nation n’est pas une insulte à la spécificité française. Il s’agit simplement d’un changement d’échelle.

En réalité, une Europe unie est la seule manière de conserver les caractères spécifiques des différents peuples qui la composent. Nous faisons face à des blocs géopolitiques immenses comme les États-Unis ou la Chine. Sans union économique et politique, nous sommes voués à subir l’influence de l’un ou de l’autre. Que vaut-il mieux avoir ?

  1. Une nation européenne portée par une destinée et une idéologie européennes, avec des bâtiments typiquement européens et français au coin de nos rues, ainsi qu’une économie basée sur l’autarcie des grands espaces, sans immigration ?
  2. Des États-nations fragmentés qui importent leur idéologie de l’étranger avec des McDonalds à chaque coin de rue, où chaque ville est un coupe-gorge à cause d’une immigration impossible à juguler ?

Le choix est vite fait.

Comme beaucoup de grands hommes politiques, Mosley (un britannique) était en avance sur son temps

L’Europe, un État blanc de Brest à Vladivostok

Pour répondre aux périls et enjeux de notre temps, l’Europe doit devenir une véritable nation. Elle doit donc se doter d’un Etat. Cet Etat doit, une bonne fois pour toutes, édicter une évidence historique : seuls les Blancs peuvent être citoyens de l’Europe.

Il nous faut mettre au placard, ou mieux à la poubelle, toutes les « idées » universalistes. Les individus ne sont pas identiques entre eux, et ce dès la naissance. Les peuples non plus. En fin de compte, la réalité biologique prend toujours le dessus sur des préconceptions humaines faussées. Les sociétés multiraciales sont toujours et sans exception dysfonctionnelles. Il suffit de voir l’Amérique latine pour s’en convaincre. Les Algériens, les Palestiniens, les Sénégalais et tous les autres ont le droit de se battre pour vivre en paix chez eux. Les Blancs aussi.

Bien sûr, construire cet Etat blanc implique de détruire l’administration coloniale et bureaucratique que l’on appelle l’Union « européenne ». Son seul rôle est de maintenir les autochtones en laisse pour le compte d’une petite clique de financiers apatrides.

Que faire des allogènes déjà présents ?

Cela n’aura échappé à personne, mais nous avons sur notre territoire des gens qui ne sont pas blancs. Nous en avons beaucoup. Qui plus est, ils vivent de nos impôts et sont très agressifs, comme le montre une montagne quotidienne de faits « divers ».

Le dernier en date est certainement celui de l’attaque (des attaques, en fait) à Mannheim. Attention, la vidéo ci-dessous comporte du contenu sensible.

Il est clair qu’en plus des attaques du système et de ses représentants, nous aurons de plus en plus à faire face aux attaques des allogènes. On parle ici d’attaques physiques, au cas où ce n’était pas clair. Malgré tout, ce sont des risques que nous devons prendre. Nous n’avons pas le choix.

Pour revenir à la question originale : deux choses.

Premièrement, il est probable que beaucoup d’entre eux partiront lorsque la situation se détériorera et/ou que l’Etat encouragera une remigration pacifique.

Deuxièmement, le problème n’est insoluble que si l’on reste dans le cadre des états-nations actuels. Or, nous en avons parlé dans un article précédent, il est fort probable que les états actuels se décomposent sans que nous ne puissions rien y faire face aux tensions entre les différents blocs démographiques. Je ne suis pas sûr que ce soit la meilleure chose qui puisse arriver, mais il faut pouvoir l’envisager.

Le combat doit être mené à l’échelle continentale et à l’échelle biologique. A partir de ce moment-là, il importe peu que nous perdions, temporairement ou non, certaines parties du territoire. Tant que la vision de long terme reste claire, positive et ancrée dans la réalité, l’Europe a un destin — et avec elle, la France.

Réaliser l’Etat blanc, réaliser la biocivilisation

Plus qu’un rêve, l’État blanc et avec lui la biocivilisation doivent être une vision. Une vision de long terme, certes, mais une vision tout de même. Face au métissage, au consumérisme nihiliste et antinaturel, nous devons répondre : ethno-différentialisme et société organique.

Cette vision, nous pouvons tous y participer, la construire et la développer.

Individuellement, vous pouvez incarner cet idéal grandiose en refusant la médiocrité et la résignation.

Collectivement, vous pouvez nous rejoindre ou rejoindre n’importe quelle communauté qui partage une vision similaire. Si cela est impossible, Internet offre de nombreux moyens d’action. Par exemple, nous offrons à tous ceux qui partagent notre vision la possibilité d’écrire dans notre blog. Contactez-nous.

Pour que vive l’Europe blanche, nous avons besoin de pionniers.

Famille blanche de dos dans un champ de blé au crépuscule : bâtir le foyer et l'Etat blancs

PS Pour approfondir le sujet d’un État blanc, son utilité et sa nécessité, nous recommandons la lecture de Bâtir le foyer blanc par Arthur Kemp.