Le football français : la vitrine du génocide

Rappel : nous portons comme valeur lethnodifférentialisme. Si nous expliquons qu’il existe bel et bien des « races » humaines au même titre qu’il existe des sous-espèces dans le règne animal, nous ne postulons pas qu’il existe une hiérarchie stricte qui justifierait une quelconque haine. Nous désirons que chaque peuple s’autodétermine et possède son territoire historique.

Le football « français » est devenu la vitrine du génocide des Français de souche. Pour des raisons économiques et idéologiques, les élites de ce sport ont promu l’africanisation à outrance des clubs professionnels et de l‘équipe nationale. Entre autres, la polémique autour du chant « raciste » des joueurs argentins a éclairé il y a quelques semaines cette machine infernale à l’œuvre…

Le chant des argentins

Retour en juillet 2024. Le régime français tremble. Les élites politiques s’affolent et les journalistes hurlent. Que se passe-t-il ? Un ministre assassiné ? Un attentat au parlement ? Macron qui déclare la guerre à la Russie ? Non, bien pire. Un séisme touche le fondement même des valeurs de la République. Quelque part, non loin des terres gelées de Patagonie, de l’autre côté de l’Atlantique, des joueurs de balle au pied ivres ont entonné une chansonnette dans un bus.

11 043 km séparent Paris de Buenos Aires

Une chanson très grave qui justifie une crise diplomatique majeure entre la France et l’Argentine. Les joueurs de football argentins, de retour de leur épopée victorieuse en Copa America, se sont filmés dans le bus en chantant leur tube fétiche pour se moquer de leur dernier adversaire en finale de coupe du monde : l’équipe de France.

« Ecoutez, propagez la rumeur,

Ils jouent en France mais viennent tous d’Angola

Que c’est beau, ils vont courir,

Ils aiment les travestis comme ce putain de Mbappé

Sa mère est nigériane,

Son père est camerounais,

Mais sur le papier,

Nationalité française »

Le match France-Argentine des JO

Suite à ce chant, une tension durable existe désormais entre les équipes de football de France et d’Argentine. La dernière rencontre en quart de finale des JO a dégénéré en bagarre générale.

La raison de fond vient des tensions raciales apparues suite au chant des Argentins que nous avons vu précédemment. Le capitaine tricolore Alexandre Lacazette de l’équipe olympique confie :

« Avec tout ce qu’ils (Ndlr, les Argentins) ont pu dire ces dernières semaines, on a notre victoire sur le terrain et en dehors. On est concentré sur le match mais malgré tout, on sait ce qui a été dit (Ndlr, un chant raciste anti-France). Je trouve ça dommage, en 2024, mais on va faire confiance à la FIFA. Cela donnait une motivation supplémentaire »

La honte française

Tous est vrai dans cette chanson. La très grande majorité des joueurs de l’équipe de France est d’origine africaine.

Même cette histoire de M’bappé qui aime les travelos ne sort pas de nulle part.

Alors pourquoi la sphère politique, journalistique ou sportive hexagonale s’en offusque, me direz-vous ? Ils pourraient faire le dos rond, ça reste du chambrage en règle.

Oui, mais ce petit monde sent bien que c’est effectivement un motif de honte, et ce aux yeux du monde entier. Une compétition sportive internationale est là pour que les nations se mesurent les unes aux autres et montrent à la face du monde leur qualité propre. Un État n’est pas censé sous-traiter ce qui relève justement de la représentation nationale. Les autres pays, à l’instar de l’Argentine, se moquent donc de cette équipe de France qui envoie des Africains jouer sous son drapeau.

L’antiracisme, valeur républicaine fondamentale

Mais cela va encore plus loin. Ce chant moqueur attaque directement un des fondements de cette république vacillante : l’antiracisme. Ce mot n’est pas à comprendre comme le désir d’être courtois ou gentil avec chaque individu, quelle que soit son origine.

Non, il est à comprendre comme l’application du mythe de l’égalité aux races et aux ethnies de l’humanité. Tous les individus seraient identiques, quelle que soit leur race. À partir de cette pensée, n’importe qui peut être français. Le français n’a plus d’identité biologique spécifique, il serait simplement humain, qu’il vienne de Creuse ou d’un caillou perdu dans l’océan Indien.

Les élites hexagonales se sont donc données à cœur de prouver à la face du monde entier que les races n’existent pas, un des points piliers des valeurs de leur système. L’équipe de France de football a en particulier été choisie pour envoyer ce signal tant à sa population autochtone qu’au reste du monde.

Un football français sans Gaulois

On a, jusqu’à aujourd’hui encore, dans les centres de détections, scrupuleusement mis en avant les critères physiques pour favoriser les jeunes joueurs d’origine africaine qui ont une croissance précoce par rapport aux petits blancs. On a organisé des filières d’immigration dans tous les clubs français pour faire venir les « pépites africaines ». Le modèle économique de nombreux clubs a aussi joué un rôle. On veut rentabiliser le plus tôt possible la formation d’un joueur en l’alignant en équipe première ou en le revendant à l’étranger. On fait preuve de peu de patience avec les profils qui n’atteignent une maturité physique complète que vers 21, 22 voir 23 ans. Enfin ce qu’on appelle le « bolossage » chez les jeunes dans les clubs de football a fait le reste et les Blancs quittent massivement ce sport.

Laporte et Le Normand, les défenseurs centraux de l’équipe espagnole, sont littéralement des réfugiés français de cette folie furieuse antiraciste. Ils ont dû gagner l’Espagne pour faire carrière et remporter l’Euro 2024.

De l’antiracisme au génocide des Gaulois

L’équipe de France est la vitrine du projet que le pouvoir a pour les Gaulois : le génocide total. Ce génocide n’est pas censé exister, parce qu’être français c’est posséder un morceau de papier plastifié avec écrit dessus « Français ».

Un génocide trouve souvent dans la négation de l’existence même du concerné un confort moral apprécié pour mener à bien cet anéantissement. Les Israéliens appellent les Palestiniens des animaux pour les déshumaniser et ainsi procéder tranquillement au nettoyage ethnique. Pour les Français de souche, c’est le même principe, mais avec une nuance : ils n’existent tout simplement pas. Enfin, tous les humains sont français, ce qui revient au même. Une fois que les élites au pouvoir ont dit cela et le martèlent sur toutes les ondes, elles peuvent les remplacer démographiquement avec sérénité.

Des Africains jouent au football sur des ossement, le drapeau tricolore en arrière plan

L’antiracisme, une posture anti-scientifique

Lorsque j’étais jeune et naïf, je me demandais pourquoi les gens dits intelligents que je rencontrais, que ce soit en école d’ingénieur ou après, dans leur grande majorité, adhéraient à l’antiracisme. Toutes les données scientifiques les plus solides corroborent l’impression que n’importe quel enfant de 3 ans a en voyant un Blanc et un Noir : ils sont très différents, et forment des sous-espèces de l’homo sapiens. Le mot race, qui est synonyme de sous-espèce, est encore largement utilisé dans les pays anglo-saxons. C’est en France que le dogme de l’égalité va si loin qu’on désire supprimer ce mot.

En grandissant, j’ai compris qu’un haut QI n’efface pas forcément l’aspect grégaire du cerveau humain. Il se soumet aux idées en vogue dans le groupe par peur d’être rejeté, dans un vieil et puissant instinct évolutif de survie. L’antiracisme fait aujourd’hui partie du catéchisme de l’administration en place, la majorité des gens s’y soumet donc. Le confort avant la vérité en somme. Il fut un temps où la France était encore éclairée par les lumières de la vérité sur la réalité des groupes humains, comme en témoigne l’Essai sur l’inégalité des races humaines d’Arthur de Gobineau.

Si les élites politiques françaises avaient gouverné en prenant en compte les réalités et non des fantasmes sur la question de ce qu’est l’humanité, l’antiracisme, cette négation des races, n’aurait jamais existé et enfanté le génocide en cours des autochtones blancs.

« On ne génocide personne ! »

Finalement, ce qui gêne et affole profondément les élites de ce régime en putréfaction, c’est que le chant des footballers argentins jette la lumière sur le génocide en cours des Gaulois. Au quotidien, la quantité invraisemblable de propagande dans les médias francophones entretient le bobard de l’antiracisme et donc la négation de l’existence même du français de souche. Mais cette chanson vient troubler le génocide en cours. C’est le battement d’aile de papillon qui vient faire trembler le château de cartes de cette fumisterie pour demeurés et soumis qu’est l’antiracisme.