Les dangers qui assaillent nos peuples sont nombreux. L’insécurité, l’immigration incontrôlée, le déclassement, l’appauvrissement économique, l’abaissement moral et intellectuel ne doivent plus être tolérés. La dégradation des écosystèmes, de la qualité de vie et de la biodiversité n’est pas acceptable. Les idéologies destructrices qui poussent à l’automutilation, à la destruction et au mal-être doivent être combattues. C’est une lutte à mort contre la dégradation morale de nos sociétés, qui détruit les identités naturelles et perd les esprits pour en faire les proies d’une hyperclasse cosmopolite et prédatrice.
Le national-écologisme propose une vision nouvelle. C’est l’homme qui organise la société selon ses aspirations profondes. Un seul mot d’ordre : Nature. Cessons de vouloir changer l’homme. Le nouvel homme national-écologiste, c’est l’homme qui se redécouvre tel qu’il a toujours été. Être national-écologiste, c’est viser l’harmonie totale avec la Nature, celle qui nous habite et qui nous entoure. C’est vouloir vivre selon ses préceptes, dans le respect de l’ordre naturel.
Ainsi, le principe de base du national-écologisme est l’écologie double. Écologie extérieure, protection véritable de l’environnement. Écologie intérieure, respect de l’ordre naturel. Au même titre que le reste de notre biosphère, les individus et les peuples sont liés à des déterminismes biologiques que nous devons respecter.
Cette écologie double inclut, entre autres, le respect :
- De la biosphère.
- De la santé des hommes et des animaux, mis à mal par la pollution, les perturbateurs endocriniens, etc.
- De nos coutumes et traditions.
- Des rôles sexués traditionnels.
- Du droit des Blancs à défendre leurs intérêts et leur territoire, au même titre que les autres.
Face à un monde toujours plus corrompu et chaotique, notre vision est celle d’une Europe unie et prospère. Une Europe souveraine qui exalte nos identités locales et nationales. Une Europe nouvelle avec des chefs choisis par le peuple et qui gouvernent pour le peuple. Pour atteindre cet objectif, le national-écologisme propose des solutions audacieuses avec une stratégie de choc idéologique. Une époque difficile amène des réponses qui le sont tout autant.
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La vision nationale-écologiste, en bref
Qu’est-ce que l’ordre naturel ?
L’ordre naturel, qui doit constituer la base de l’ordre social des sociétés humaines, désigne les règles immatérielles qui ordonnent la Nature et l’univers. La Nature étant cette source infinie de vie, tout ce qui répond à une pulsion de vie est bon. Au contraire, tout ce qui répond à une pulsion de mort est néfaste pour le bien-être individuel et collectif.
Par exemple, toutes les idéologies modernes qui poussent à la stérilisation et/ou à l’automutilation sont contraires à l’ordre naturel, car elles empêchent des vies potentielles de se réaliser. Cela inclut la théorie du genre, l’idéologie LGBT en général, le libéralisme sexuel qui promeut la contraception, etc.
Dans un autre exemple, il est conforme à l’ordre naturel que l’homme et la femme jouent des rôles différents, mais complémentaires. L’homme protège sa femme et subvient à ses besoins. En échange, cette dernière lui fournit un soutien moral et devient la mère de ses enfants. Enfants qui, élevés dans un environnement stable, seront à même de créer eux aussi la vie lorsque viendra leur tour.
Quel est le substrat philosophique du national-écologisme ?
Attention, cette question appelle une réponse relativement poussée. Le paragraphe suivant contient des références philosophiques approfondies. Vous pouvez le passer si vous souhaitez d’abord voir les grandes lignes du national-écologisme.
Le national-écologisme conçoit l’Histoire comme une suite linéaire de grands thèmes différents, mais similaires. C’est-à-dire que le progrès de l’humanité ne se réalise pas linéairement. Il se réalise plutôt selon une alternance entre progrès véritable et régression, comme une répétition de motifs similaires mais jamais tout à fait identiques. C’est une conception « sphérique » de l’Histoire. Ces alternances et répétitions existent sur plusieurs plans. Elles sont civilisationnelles, comme le relève John Glubb dans Le sort des empires et la recherche de la survie ou comme le décrivent les théoriciens du déclinisme à l’instar de Spengler. Elles sont aussi dialectiques et donc philosophiques, et elles déterminent les grands thèmes ou « Zeitgeist » de chaque période, ce que Carl Schmitt appelle les thèmes centraux.
Le 20e siècle par exemple était traversé par une opposition dialectique autour du thème central de la technologie, entre libéralisme technocratique des « experts » et dictature du « prolétariat ». C’est à la fin de ce siècle et notamment avec la chute de l’URSS que la synthèse dialectique de ces deux visions s’est réalisée. Elle s’est cristallisée relativement récemment avec ce qu’on peut appeler la société managériale néolibérale, économiquement capitaliste, mais culturellement marxiste.
Suivant cette logique de cycles, le thème central du 21e siècle sera l’anthropologie. En effet, l’homme (blanc, occidental) ayant abandonné les religions révélées et ne demeurant pas satisfait par une conception matérialiste et rationnelle, il se pose naturellement les questions : d’où est-ce que je viens ? qui suis-je ? où vais-je ?
Du fait de la conception naturaliste moderne du monde, la question « d’où est-ce que je viens ? » décline ce grand thème de l’anthropologie dans ce qu’on appelle l’écologie, c’est-à-dire la Nature. La question « qui suis-je ? » quant à elle détermine un deuxième sous-thème, celui de l’identité, c’est-à-dire la race dans le contexte des sociétés multiculturelles occidentales. Enfin, la dernière question « où vais-je » reste encore sans réponse, mais doit logiquement résulter des deux premières. Le national-écologisme vise à répondre à ces trois questions.
Le 21e siècle verra donc s’opposer deux conceptions de l’anthropologie. La première est négative, prône la décroissance voire la dépopulation, explique que les races n’existent pas sauf quand il s’agit de désigner l’homme blanc comme raciste et source de tous les maux. C’est une conception millénariste et nihiliste du monde. Elle cherche partout des signes de la fin des temps, notamment avec le culte apocalyptique du réchauffement climatique. Elle est une philosophie du chaos qui pousse à l’égalité absolue, caractéristique des civilisations en déclin. L’on peut la résumer ainsi : l’homme (comprendre l’humain) doit se repentir pour ses péchés contre la planète et les peuples ; il doit et il va mourir.
Cette conception, certes terrible, doit néanmoins aller au bout de sa logique dans un dépassement dialectique. Cela est nécessaire afin que sa conception opposée l’emporte et, dans un éternel retour de l’identique, détermine le cadre philosophique des mille prochaines années.
Le national-écologisme constitue ainsi une opposition dialectique au nihilisme du 2e millénaire, car c’est une philosophie vitaliste et néguentropique qui célèbre la Vie comme l’expression de la Nature. Contre l’atomisation et la désagrégation, le national-écologisme vise à une harmonie totale :
- De la collectivité incarnée dans l’État hégélien, c’est-à-dire l’ensemble des hommes en société, avec la Nature.
- Des individus avec la collectivité, chacun visant à s’autoréaliser dans le don de soi pour la collectivité.
Si la Nature est bonne, c’est parce qu’elle fixe le standard auquel les hommes sont tenus de se conformer. La Nature inspire à l’homme l’action vertueuse par sa beauté ; elle le pousse à l’excellence par son caractère intransigeant. C’est donc sur la Nature que doit être fondé l’ordre moral des hommes ; c’est-à-dire que l’ordre social doit découler de l’ordre naturel afin qu’il puisse faire jaillir en chacun vitalité, force et justice. L’homme étant à l’image de la Nature, il n’est pas déterminé moralement contrairement à la pensée de Rousseau ou de Hobbes. C’est la société, incarnation concrète de l’ordre naturel, qui encourage l’homme à exprimer sa volonté de puissance légitime d’une façon qui soit bénéfique à l’ensemble de la collectivité.
C’est dans ce cadre que le national-écologisme reconnaît et promeut l’existence de groupes de populations différenciés avec leurs aspirations propres et leur destinée. Celle des Blancs est de dépasser leur condition actuelle et de réaliser leur destinée historique : celle d’être les premiers gardiens de la Nature et de l’ordre naturel sur Terre. C’est dans l’avènement d’un type d’homme supérieur, visant l’excellence et le dépassement de lui-même dans le prolongement des lois naturelles, que se trouve notre avenir.
Notre mission consiste à protéger les commandements de la Nature : viser l’excellence, l’effusion de la Vie et protéger les expressions de l’ordre naturel, quelles qu’elles soient. Nous devons donc sauvegarder les écosystèmes et le futur ordre social national-écologiste contre les corrupteurs de la Nature et les nihilistes.
C’est en cela que le 21e siècle est d’une importance capitale, car il sera le théâtre de l’affrontement entre les forces de la Vie et celles du nihilisme. Les forces vitales doivent l’emporter car l’alternative est la mort définitive des peuples blancs comme entité politique porteuse de cette destinée si spéciale.
Comment atteindre le bonheur ?
Le national-écologisme conçoit le bonheur comme un état d’esprit et comme un but. En tant qu’état d’esprit, il est proche de l’ataraxie des stoïciens. Il vise un sain équilibre mental et physiologique, une harmonie totale. En tant que but, il est proche de l’idée de la volonté de puissance comprise d’une manière radicalement vitaliste. L’homme heureux, c’est celui qui, plein de Vie, transforme et dépasse sa propre existence. Par le don de soi à la collectivité, par l’art, par le travail, par ses enfants et ce qu’il leur transmet, et par tant d’autres choses encore.
Contrairement au socialisme et au communisme, le national-écologisme reconnaît toutefois que la recherche du profit peut être légitime. Le but doit malgré tout rester l’amélioration de la condition collective.
Quelles sont les mesures écologiques préconisées ?
Le national-écologisme préconise des mesures environnementales puissantes, par exemple :
- Réduction drastique de la pollution.
- Préservation des écosystèmes et des ressources naturelles.
- Sauvegarde des parcs naturels et urbanisme vert.
- Utilisation de matériaux propres, sains et respectueux pour la construction et le BTP.
- Restriction des pesticides et autres produits toxiques.
- Encouragement des circuits courts et du localisme.
- Et bien plus encore.
La logique national-écologiste est bien plus profonde qu’une simple écologie de surface. Elle s’inscrit dans une cadre large qui vise au retour de l’artisanat, de la relation économique simplifiée, des circuits courts…
En ce qui concerne le réchauffement ou “dérèglement climatique”, il est vital de nuancer l’alarmisme climatique de nos élites et des médias. La planète se réchauffe bien, mais cela fait partie d’une logique cyclique et le rôle de l’homme n’est pas significatif. Par ailleurs, le CO2 est la nourriture des plantes et une source de vie au même titre que l’oxygène. Il faut bien sûr que nous abordions ces thèmes pour nous adapter au climat changeant, mais tout cela n’a rien d’apocalyptique.
Comment être en bonne santé ?
Le national-écologisme prône l’excellence de corps, d’âme et d’esprit. La santé est donc vue comme un ensemble et ne concerne pas uniquement celle du corps. Concrètement, cela passe avant tout par :
- Une activité physique régulière dès le plus jeune âge.
- Un soin particulier aux travaux de l’esprit visant à renforcer l’intelligence et la culture.
- Une recherche constante de l’amélioration morale.
Bien sûr, cette bonne santé passe aussi par une bonne alimentation. Notre diète moderne est souvent très mauvaise et riche en produits transformés. Un environnement moins pollué constitue aussi une mesure de salubrité publique. Enfin, il est nécessaire de réguler sévèrement les grandes entreprises pharmaceutiques, technologiques et agroalimentaires.
Au-delà de ces mesures publiques, chacun est tenu de s’informer et de réaliser tous les efforts possibles pour tendre vers une hygiène de vie idéale.
Comment organiser la société ?
La société nationale-écologiste s’organise autour de cercles concentriques selon une logique de proximité. Chaque cercle possède son harmonie propre, ses spécificités et interagit de manière particulière avec les autres. De la même manière, chaque cercle doit être libre dans une large mesure de gérer ses affaires propres. Le national-écologisme prône donc une large décentralisation et une réduction de la bureaucratie au profit d’une gestion humaine, proche du réel et organique.
Il n’existe pas de liste prédéfinie de ces cercles, car cette organisation doit s’adapter au réel. Le national-écologisme pose néanmoins les suivants comme base pour notre époque, du plus restreint au plus large :
- La famille naturelle ou « nucléaire », avec l’homme comme chef de famille, sa femme et ses enfants.
- La famille élargie, avec les grands-parents, les oncles et cousins, et le souvenir des ancêtres.
- La communauté locale : le village, la ville.
- La communauté régionale, qui ne constitue pas simplement une subdivision administrative, mais bien un sous-ensemble de la nation avec sa culture particulière.
- La communauté nationale, dont l’expression collective réside dans l’État-nation.
- La communauté raciale.
La nation fait référence à une culture, à une ethnie, à des coutumes proches et partagées. La communauté raciale quant à elle peut tout à fait être conçue comme une sorte de « grande nation » entre peuples partageant civilisation et héritage biologique lointain. Cette conception bio-ethnique de la société est conforme à la nature profonde et souvent tribale de l’homme, sans postuler aucune supériorité de groupes de population sur d’autres. Il s’agit simplement de différences.
Quelle conception des relations homme-femme ?
Nous vivons une drôle d’époque. Nous entendons sans cesse que tout doit être égal, c’est-à-dire identique. Les hommes seraient en réalité des femmes qui s’ignorent, et les femmes seraient des hommes comme les autres. Pourtant, la reproduction sexuée est l’une des caractéristiques les plus anciennes de l’espèce humaine. Depuis des millions d’années, c’est cette relation complémentaire qui nous a fait perdurer et prospérer. Nous devrions croire que cette réalité éternelle a disparu en l’espace de quelques décennies ?
En vérité, cette confusion est due à une volonté idéologique de créer un humain indifférencié et identique à tous les autres. Point de race ou de nationalité, d’homme ou de femme, notre seule identité devrait être ce que nous consommons. Loin d’être une conséquence involontaire du système, l’atomisation et la rupture des liens organiques (familiaux, amoureux…) est l’un de ses principaux objectifs. Cela passe par des mouvements comme le féminisme. Cela passe aussi par des mouvements virilistes parfois caricaturaux qui amènent les hommes à reprocher aux femmes d’être ce qu’elles sont par nature. Le résultat est la guerre de tous contre tous, y compris des hommes et des femmes.
D’un point de vue national-écologiste, ce projet antinaturel est intolérable. Il rend les hommes comme les femmes malheureux. En effet, les hommes se sentent inutiles car rendus obsolètes par une économie ultra tertiaire. La femme quant à elle devient dans le pire des cas une consommatrice avide d’antidépresseurs, car les nécessités économiques la contraignent à mener une vie qui ne correspond pas à ses aspirations profondes.
Le national-écologisme reconnaît que les hommes et les femmes possèdent des différences majeures tant physiques que psychologiques. La femme a besoin d’un homme solide sur qui elle peut compter. L’homme a besoin d’une femme à chérir qui ne soit ni une esclave ni une féministe. La société a besoin de familles unies qui reposent sur l’homme, plus rationnel et stable. Seul ce fondement qui reconnaît les qualités de chacun peut permettre une démographie vigoureuse et une société stable et apaisée.
C’est pourquoi le national-écologisme propose l’établissement du tutorat de l’homme blanc sur sa femme comme une relation de confiance entre les deux parties lors d’un mariage. Cette mesure correspond à la formalisation de la relation historique et éternelle entre les hommes et femmes européens, ni plus ni moins. Dans ce cadre, l’homme s’engage à protéger et subvenir aux besoins de sa femme et des futurs enfants. Il se sentira responsabilisé et redeviendra un roc pour toute sa famille. Il sera de nouveau investi de sa mission éternelle : guider sa femme et ses enfants à travers les épreuves de la vie et subvenir à leurs besoins.
La femme, quant à elle, s’engage à faire confiance au jugement de son mari pour les décisions importantes. Elle s’engage aussi à l’assister dans les difficultés de la Vie. Ses innombrables qualités pourront alors fleurir de nouveau dans une relation saine avec un mari aimant. C’est elle qui abrite la vie, lui donne naissance et c’est dans la quiétude d’un foyer protégé et habité par la tendresse que les conditions de cette promesse sont réunies.
Quels principes pour l’éducation de la jeunesse ?
Le national-écologisme est une vision du monde vitaliste. En ce sens, il combat toutes les pulsions de mort et encourage toutes les pulsions de vie. L’éducation de la jeunesse joue un rôle crucial dans ce cadre. Les garçons doivent être éduqués par des hommes, et les filles par des femmes, afin que chaque sexe puisse renouer avec son rôle naturel dès le plus jeune âge. Leur éducation doit refléter le rôle différent, mais complémentaire, qu’ils joueront en tant que futurs adultes.
L’éducation joue aussi un rôle essentiel dans la cohésion sociale et la promotion de comportements sains. Les jeunes gens, qui sont les plus influençables, devront être encadrés dans leur utilisation des réseaux sociaux et d’Internet, par exemple.
Quelle place pour le citoyen ?
Le citoyen national-écologiste est un citoyen-soldat de sa nation. En conséquence, il a droit au port d’arme et à la légitime défense. Il est individuellement responsable de la sécurité de sa communauté et constitue une partie intégrante de l’appareil de sécurité national.
Quelle place pour l’art et la culture ?
L’art se conçoit comme le prolongement plus parfait encore de la beauté de la nature. Il est une composante essentielle du bien-être collectif. C’est pour cette raison que le national-écologisme porte en lui une importante dimension esthétique. Il est plus que temps de réinjecter le sens du beau et du naturel dans la vie des hommes, surtout dans les domaine de l’architecture et de la culture populaire : musique, cinéma…
Quelle identité pour la France et les Français ?
Les décennies qui vont suivre porteront de grands changements. Le national-écologisme ne peut pas se prononcer sur l’avenir de nos frontières actuelles. Il ne peut donc pas se prononcer sur l’avenir de la construction nationale qu’est la France, qui a été attaquée sans relâche par tous les corrupteurs de notre identité historique, et ce depuis la révolution bourgeoise de 1789.
Il reste toutefois certain que l’identité française ne constitue pas qu’une idée. Elle se base sur un substrat biologique concret. Ce substrat, c’est celui de la Gaule antique. Nous, Français, sommes les héritiers directs des Celtes continentaux. Notre culture, notre attrait pour la liberté, notre vigueur, reflètent cela. Bien sûr, notre culture contemporaine contient de nombreux apports latins et germaniques. Ces derniers ne sont pas à rejeter, au contraire. Il reste toutefois certain que le français n’est pas un métisse.
Quel destin pour l’Europe et les Blancs ?
Le national-écologisme prône une entente globale entre les Blancs du monde entier. Face à des blocs géopolitiques de grande ampleur, il défend une Europe unie, mais respectueuse des spécificités locales et nationales. Le national-écologisme défend aussi l’idée de communauté raciale. La communauté raciale, c’est ce sentiment d’appartenance collectif à un héritage biologique et culturel commun, soit l’Eurasie et l’Amérique du Nord.
Comme nous l’avons déjà dit, cette notion de communauté large biologique, ethnique et civilisationnelle se base sur des différences. Elle ne se base aucunement sur une notion de “supériorité” et ne comporte aucune haine.
Quelle position vis-à-vis des autres groupes de population ?
La position à adopter vis-à-vis des autres peuples varie forcément beaucoup en fonction du contexte. Comme déjà dit et répété, entre peuples partageant la même civilisation, une coopération absolue et de bonne foi doit primer. Cela ne doit pas bien sûr faire oublier tout bon sens, car tous les Blancs ne sont pas des anges.
Concernant les individus issus d’autres groupes de population, ils se situent donc en dehors de notre communauté raciale. De fait, ils résident aussi en dehors des cercles qui déterminent et organisent notre vie en collectivité. En conséquence, il est impensable de partager notre espace avec eux. Nous n’y voyons aucune haine. En effet, cela ne ferait que dissoudre nos identités respectives et mener à la guerre. Nous avons bien plus à gagner à ce que chacun reste chez soi.
Bien sûr, la formation d’alliances et la coopération avec d’autres peuples ne sont pas proscrites. Ces relations diplomatiques sont même souhaitables tant que chacun des deux peuples dispose de son espace vital. Le national-écologisme possède une dimension universelle qui peut convenir à chacun.
Concernant l’immigration, qui constitue un sujet brûlant, nous n’en rejetons pas le concept même. Mais lorsqu’on parle d’immigration, c’est-à-dire d’immigrés, on doit toujours parler d’individus et jamais de populations entières. C’est encore bien plus vrai lorsqu’on parle de peuples qui ne partagent pas notre héritage, notre culture ou notre mode de vie. Nous n’avons aucune obligation morale à accueillir des gens qui, bien souvent, mettent en danger nos femmes et nos enfants.
Dans l’état actuel de nos sociétés multiraciales, l’instinct de préservation nous impose de chercher à vivre séparés des communautés étrangères. Des solutions de long terme devront ensuite être mises en place pour assurer la stabilité de nos sociétés.
Quelle vision de l’économie ?
Le national-écologisme rejette le consumérisme et l’économie de marché tout autant que la planification intégrale de l’économie. Il défend une troisième voie économique qui laisse une large place à la liberté d’entreprendre, encadrée par une stratégie d’ensemble. L’objectif est d’arriver à un état distributif, fait d’acteurs économiques libres et indépendants.
C’est un sujet complexe, aussi nous vous invitons à lire le manifeste dans sa version complète. Cela étant dit, la vision globale de l’économie nationale-écologiste est celle d’une économie harmonieuse. Elle remet l’homme au centre d’une économie constituée de relations d’échange avant tout sociales.
Quelle approche de la technologie et du progrès ?
Face à un progrès technique très rapide, le national-écologisme porte avec lui une approche archéofuturiste. L’évolution technologique doit être accueillie avec joie. Mais nous devons veiller à ce que cette évolution soit faite suivant des règles précises afin qu’elle ne mette pas en danger la cohésion sociale.
A ce sujet, il est important de souligner que les nouvelles technologies offrent des perspectives pleines d’espoir pour protéger notre environnement. Notre idéal ne doit pas être le retour à la préhistoire. C’est bien le dépassement du productivisme et des technologies polluantes que nous devons viser.
Le national-écologisme a-t-il un ennemi ?
Comme le disait Carl Schmitt, la politique c’est avant tout désigner un ennemi. Le national-écologisme étant une philosophie politique ancrée dans son époque, il est donc nécessaire d’identifier ceux qui lui feront obstacle.
Le national-écologisme vise radicalement le retour de l’ordre naturel, dans ses déclinaisons écologiques et sociales. Tous ceux qui visent le même objectif d’ordre naturel et qui prennent le parti des Blancs dans leurs pays sont des alliés ; tous ceux qui agissent contre l’harmonie naturelle ou contre les intérêts des Blancs dans leur pays sont des corrupteurs et des ennemis.
Bien sûr, cette figure du corrupteur est changeante. Mais elle offre l’avantage d’être précise. En effet, il serait inexact de désigner un groupe de population, une classe sociale ou même un courant de pensée comme ennemi. Par exemple, désigner les allogènes ou les « wokes » n’est pas la solution. C’est passer à côté du véritable enjeu historique de la lutte entre la Nature et ses ennemis. Nos ennemis sont tous ceux qui, d’une manière ou d’une autre, pour une raison ou une autre, agissent contre l’ordre naturel, contre ce que représente l’ordre social blanc, contre la Nature.
Par exemple, nous pouvons considérer les « groupes » suivants comme participant, à leur manière, à la corruption de l’ordre naturel blanc :
- Ceux qui agissent par intérêt tribal, instinct de vengeance ou haine du Blanc, pourtant chez lui : immigrés conquérants, diasporas hostiles…
- Ceux qui trahissent par appât du gain ou soif de pouvoir : politiciens, journalistes, financiers…
- Ceux qui, dévoyés, adhèrent sincèrement au culte de la mort de l’Occident : idéologues, sociologues…
- Ceux qui, déviants, haïssent l’ordre naturel, par conséquent la Vie elle-même.
Cela étant dit, la déclinaison principale du corrupteur reste l’oligarchie financière/bancaire qui nous gouverne, et ses têtes pensantes. Ce sont eux qui importent des immigrés déracinés au service d’un capitalisme débridé. Ils montent ensuite ces mêmes immigrés contre les populations de souche, réduisant l’un comme l’autre à une abjecte condition. Ce sont eux qui détruisent nos valeurs et nos traditions pour les remplacer par des coquilles vides de sens. Leur objectif final est le rétablissement d’un esclavage qui ne dit pas son nom. C’est la guerre de tous contre tous. Contre cela, les nationaux-écologistes sont et demeurent des hommes libres qui prônent la Vie.
Comment agir pour le national-écologisme ?
Agir efficacement c’est en premier lieu incarner les valeurs du national-écologisme. Mettez de l’ordre dans votre vie et éliminez en toute trace de décadence. Renforcez vous physiquement, intellectuellement et moralement. Ne négligez aucun élément : mangez correctement, faites du sport, cultivez vous. Puis rejoignez une organisation politique qui se réclame du national-écologisme.
En tant que tel, le national-écologisme ne préconise pas de mode d’action particulier. L’objectif final reste toutefois clair. L’Europe se trouve à un stade de décrépitude tel qu’une révolution complète et radicale constitue le strict minimum pour le salut de nos peuples. Par révolution, comprenons “bouleversement politique total” ; la forme exacte importe peu et la violence n’est pas nécessaire ni même souhaitable.